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Profession : Journaliste de l'Initiative Habitation : Sur le Nexus
La vida loca
Shoot my shot, all I need is one take. House party poppin' on a Monday
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Ezra aime particulièrement se perdre dans l'ivresse d'une nuit sans attache, ça a toujours été le cas d'aussi loin qu'elle s'en souvienne. Même quand elle était étudiante et encore sous la coupe de Kyra, ces soirées où elle se noyait dans les néons, la musique trop forte et la proximité des autres lui étaient nécessaires, salvatrices. Elle ne sait pas vraiment pourquoi et n'est pas vraiment sûre de vouloir le savoir. Peut-être que c'est son moyen de gérer toute cette frustration qu'il y a en elle, de faire taire toutes les pensées qui ne lui plaisent pas. Peut-être que c'est son remède à elle, son moyen de s'en sortir.
Et il y a des gens, des gens qui sont extrêmement doués pour ça.
Elle ne se rappelle plus précisément du jour où elle a rencontré Maleck, sans doute parce qu'elle était ivre à ce moment là aussi. Quoi qu'il en soit, ce jour là était le commencement d'une série de soirées plus décadentes les unes que les autres. Avant d'être un partenaire de débauche, Maleck est un ami et parfois même un collègue de travail quand il s'agit d'échanger des informations. Pourtant elle n'est pas une de ses clientes, le jeune homme étant proxénète et Ezra se refusant toujours à payer pour du sexe. Non pas pour une raison impliquant l'honneur ou quelques imbécilités comme ça, plutôt parce qu'elle aime beaucoup trop séduire et repartir à la maison avec le fruit de ses efforts. Payer, c'est trop facile, trop automatique, il n'y a pas de saveur là-dedans. Néanmoins, ça ne l'empêche pas de participer gaiement aux soirées du jeune homme et habitant de Kadara. Kadara, décidément. En posant le pied sur le sol vicié de la planète pour la énième fois, elle se dit qu'elle ferait tout aussi bien d'y élire domicile. Elle se dirige un peu automatiquement jusqu'à la zone résidentielle, marche sans hésiter jusqu'au penthouse de son ami. La fête bat déjà son plein, elle entend la musique d'où elle est et trois fêtards sont déjà en train de s'embrasser au pied de l'immeuble. Elle les avise rapidement avec un sourire avant de monter jusqu'au lieu de tous les péchés. La lumière rouge sur sa peau lui donne l'impression d'être comme un poisson dans l'eau, elle retire sa veste qu'elle abandonne à l'entrée et déboutonne un peu sa chemise. Elle n'a pas eu le temps de se changer avant de venir et de toute façon, Ezra sait très bien qu'elle traine sa tristesse derrière elle. Que sa débauche a un gout mélancolique, qu'elle sonne un peu comme une vieille chanson trop entendue. Changer de fringues n'aurait pas arrangé ça. Alors elle se contente de son uniforme de journaliste de l'Initiative et se mêle à la foule qui n'accorde de toute façon que peu d'importance à ce qu'elle porte. Elle croise le regard d'une asari, danse lascivement avec un drell et vole un baiser à une humaine avant de trouver Maleck qui siège là comme le véritable souverain de la luxure. Bien, voilà de quoi la mettre dans l'ambiance.
- Je vois que tu n'as pas oublié comment organiser une fête.
Elle s'écroule sur le divan à côté de lui et observe la masse de corps entremêlés vibrer au rythme de la musique un instant. Ça ne fait pas si longtemps qu'elle n'a pas vu Maleck mais elle a tout de même l'impression qu'il s'est écoulé une bonne éternité.
- Je me demande bien pourquoi je n'ai pas encore une coupe de champagne à la main, par contre. C'est un véritable scandale ça mon ami, un scandale.
Elle lui adresse un sourire joueur, boire, c'est très important dans une fête. Et elle largement besoin de ça pour oublier le Nexus.
(c) oxymort
Posté le Dim 11 Oct - 18:26
Invité
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La Vida Loca-Un peu plus de rouge! Oui comme ça!
Mon sourire carnassier fixait les néons qui s’installaient peu à peu dans mon Penthouse pour l’évènement. Étendus sur mon canapé en sous-vêtement, mes employés travaillaient dur depuis les premières heures du matin pour rendre cette fête aussi inoubliable que les dernières. Pour moi, ce n’était pas seulement une soirée de débauche comme les autres. Non. J’avais des attentes à répondre, des critères à respecter et cela faisait partie de ma réputation, de mon image. Je ne pouvais jamais réellement me permettre d’être moins performant lors d’une soirée, parce que cela pourrait avoir un impact sur le Pandémonium par la suite en termes de vente. Bon, les soirées étaient pour mon propre plaisir également… Mais les participants de ces soirées festives ne pouvaient imaginer le temps passé à les prévoir et à organiser le tout.
-Pas assez sucré, recommence…
Goûtant un biscuit contenant une drogue douce, je me frottais les mains ensemble pour en faire partir les miettes. Ce type de produit n’était pas accessible facilement… J’en donnais aux clients de confiance qui ne ferait pas de drame lors de la soirée. Mon but était que l’ambiance soit mémorable et je savais comment faire quitter les troubles fête au besoin… Je dirigeais donc mes employés depuis 8h ce matin, je préférais être prévoyant, que tout soit prêt pour l’heure de départ. Cette avance en termes de préparation nous offrait donc le luxe de pouvoir souper et faire une sieste en après-midi. M’entraînant dans la salle de sport du complexe, je soulevais les poids en imaginant le corps d’une femme. Je retenais une érection mal placée, alors que je me projetais déjà dans le vif de la soirée, à danser avec deux proies volontaires de terminer la nuit dans mon lit.
Puis vint enfin la soirée, ce moment tant attendu. Mes employés avaient le droit de participer à la fête, mais ils devaient également garder un œil vigilant sur l’évènement. Deux Krogans très bien rémunérés veillaient sur l’entrée de l’ascenseur au Penthouse. Assis sur mon canapé bien rembourré, je fixais la salle principale qui était mon salon en temps normal. Les danses lascives se faisaient nombreuses et je les regardais de mon trône en hauteur, m’offrant une vue optimale. Un Krogan avec quelques cicatrices était derrière moi, protégeant mes arrières. Il est mon plus fidèle garde du corps et un précieux atout à ma protection. Je remuais un pied au sol au rythme de la musique, faisant claquer le talon de la chaussure en cuir. Une coupe de champagne à la main, je sirotais celle-ci avec un sourire satisfait sur mes traits. La belle Ezra était arrivée et faisait déjà chavirer quelques cœurs. Je me retenais de me relever pour aller la rejoindre. Non, je profitais de cette vue alléchante en buvant mon délicieux breuvage. La vue excitante de mon amie qui dérobait un baiser et échauffait un autre homme avant de me rejoindre. Elle aurait fait malheur au Pandémonium, une vraie femme fatale.
Tirant un peu sur ma cravate, j’ouvrais le premier bouton de ma chemise. J’avais déjà un peu moins chaud de l’énergie ambiante qui sentait la sueur et la luxure. Je me décalais d’une place, je laissais l’humaine s’installer à mes côtés sous le regard jaloux de quelques demoiselles.
-Je ne peux me le permettre, ma réputation est en jeux à chaque fête que j’organise.
Je lançais un regard taquin à l’humaine lorsqu’elle me faisait le commentaire sur le manque d’alcool dans sa main. Elle n’aurait eu qu’à se servir au Bar, ou demander aux barmaids dans la cuisine et lui préparer quelque chose, elle le savait bien… Mais je reconnaissais là alors mon amie, désirant se faire servir. Nous partagions ce trait de caractère similaire et je ne pouvais que l’approuver. Lançant mon regard sur l’un de mes employés qui passait près de nous, je lui demandais alors d’un ton autoritaire,
-Une coupe du meilleur champagne pour Mme Monroe. -Bien Sir.
Sans plus attendre, celle-ci prenait le chemin du bar et je tournais finalement mes yeux sombres sur mon amie,
-Cela ne devrait pas être bien long. La coupe que j’ai en main était pour toi à l’origine, mais une femme de ton rang doit savoir se faire désirer.
Je lui lançais un commentaire taquin sur son retard, mais c’était également une tactique pour ouvrir la porte quant à la raison de celui-ci.
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La vida loca
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Si ce n’est le manque d’alcool qui lui contrarie le palais, tout est parfait et elle doit bien le reconnaître. Maleck est un maître en ce qui concerne les soirées de ce genre, chaque détail est pensé et fonctionne avec l’ensemble de la plus remarquable des manières. Elle ignore où est-ce que le jeune homme a appris à faire ça, mais elle veut bien aller à la même école.
- Ta réputation ne risque rien, tu peux me croire.
Ezra ne connaît que peu Kadara mais sait de source sûre que les filles du proxénètes sont appréciées des habitants et reconnues pour leur talent. En vérité, pour les avoir déjà vues à l’œuvre, Ezra est du même avis qu’eux. Maleck lui fait apporter une coupe de champagne, ce qu’elle approuve d’un signe de tête. Bien, la soirée commençait donc véritablement. Bien sûr qu’elle aurait pu se lever et aller elle-même la chercher, mais elle trouvait ça bien plus pratique de se la faire servir. Après tout, ce n’est pas tous les jours qu’elle accède à ce type de privilèges. Maleck lui fait remarquer son retard et elle ne peut que soupirer.
- Que veux tu, on garde toujours le meilleur pour la fin.
Elle lui adresse un sourire joueur en saisissant la coupe qu’on lui tend. En vérité, elle n'a simplement plus un seul instant à s'accorder et si elle avait pu venir plus tôt, elle l'aurait fait. Toutes les excuses sont bonnes pour s'éloigner du centre de leur galaxie en ce moment, elle s'y sent oppressée, surveillée. Ezra trempe le bout des lèvres dans son verre, excellent.
- Ce champagne… même sur le Nexus on en trouve pas d’aussi bon. C’est quoi ton secret, franchement ? À qui t’as vendu ton âme pour avoir un vin pareil ?
Parce qu’elle est prête à lui céder la sienne aussi. Peu à peu, les épaules de la blonde se décontractent et elle se laisse un instant bercer par le musique, le sourire aux lèvres. Ça lui avait manqué, ces soirées où tout devient possible, cette chaleur si caractéristique d'une pièce pleine à craquer, cette odeur indescriptible de fluides mélangés, échangés. Elle met du temps à répondre, tout ça pour retarder l’évocation du sujet qui fâche : son travail.
- Ils m’exploitent, tu veux dire. J’ai envie de me barrer. T’aurais pas besoin d’une chargée de communication pour le Pandémonium, par hasard ?
Elle dit ça en plaisantant mais elle y pense de plus en plus et à vrai dire, Maleck pourrait sûrement l’aider. Ezra sans le journalisme, Ezra sans affaire à résoudre… ce n’est plus vraiment Ezra. Et le Nexus ne lui correspond plus. Elle doute parfois du fait qu'il lui a un jour correspondu. Et en même temps... en même temps elle a peur, tellement peur de tout laisser, de tout abandonner comme sa sœur l'a fait et de laisser derrière elle tout ce qu'elle s'est acharnée à construire. Il faut qu'elle trouve un compromis et à vrai dire, elle a une petite idée derrière la tête.
(c) oxymort
Posté le Dim 18 Oct - 19:33
Invité
Invité
La Vida LocaEn parlant de ma réputation qui ne pouvait être affectée par de vile rumeur, je sentais mon égo gonfler comme un ballon de fête. Souriant fièrement, je redressais alors le torse et tirait le pan de mon habit vers le bas pour dévoiler très légèrement les lignes tendues par l’entraînement de mon cou. Je faisais le pan pour… Moi-même et pour tous ceux qui regardions dans notre direction. Je suis un salopard sans cœur, mais je sais comment gérer ma business et prendre soin de mes employés… À ma façon… Certaines filles avaient des congés à l’occasion, non que je croyais qu’elles aient réellement besoin physiquement de repos, mais leur mental? Elles doivent avoir une bonne santé mentale pour se sentir belles et désirables. La confiance est ce qui fait le charme et non les courbes. Et l’équation est simple… Des filles belles, en santé et en confiance sont égales à plus d’argent chaque semaine.
Une âme… À qui avais-je vendu la mienne pour obtenir ce champagne et cette vie? À personne, j’avais repris l’affaire familiale avec déjà quelques contacts en poche et élargi l’offre de nos services par mon propre biais. Je prenais un air pensif en prenant une gorgée de celui-ci. Il est vrai qu’il est particulièrement délicieux, j’avais oublié à quel point sa saveur est exquise en comparaison de ceux offerts dans des bars réguliers. Lorsqu’on vit dans la richesse, on tient certaines choses pour acquises et on oublie la réalité de la pauvreté. Je l’avais pourtant un peu vécu lors de mes études au Nexus, lorsque je ne pouvais pas manger ce que je voulais quand je le désirais parce que j’attendais l’envoi d’argent de mère. Bon d’accord, non… Je n’avais jamais vécu d’aperçu de la pauvreté dans mon historique. Posant mon regard sur mon amie, je buvais ma coupe d’un trait de levait mon verre dans les airs. Par automatisme, une demoiselle la récupérait et répondait aussitôt,
-Je vous en apporte un autre Sir? -Du Whisky. -Bien Sir. -Je n’ai vendu mon âme à personne… C’est plutôt mes clients qui vendent leurs âmes aux diables en faisant affaire avec moi. Mais… Qui sait… Peut-être qu’un jour je te dirais ou je me procure la marchandise.
Je lui adressais un clin d’œil taquin et récupérais le verre de Whisky qui m’était proposé par mon employé. Je n’avais donné les informations à la journaliste, simplement pour sa protection. Mon commerce n’est pas légal, les démarches sont illicites et passibles d’enfermement aisément. Je ne voulais qu’elle soit accusée d’être complice si un jour il arrivait malheur et qu’elle était interrogée. Surtout avec son emploi actuel, mais cela pourrait changer. À sa question, je haussais un sourcil et levait la main,
-Un verre de Whisky pour Dame Monroe.
Elle en aura besoin. Mais je gardais la fin pour moi-même, voulant faire preuve d’un peu de délicatesse envers ma comparse.
-Pour exploiter, ça, ils ne font avec Brio!
Mais j’exploite moi-même les nombreux talents de mes employés. Je le ferais tous les jours de la semaine si c’était physiquement possible, mais l’humain est une machine faible qui requiert du repos et de la valorisation. Je me retenais de créer un régime d’esclavagisme, car cela ne serait pas bon pour les affaires et la gestion de mes employés. Mais dans le cas de ceux que j’apprécie… Comme dans le cas d’Ezra, elle aurait d’excellentes conditions de travail. Favoritisme? Complètement, vaut mieux être copain avec le gérant pour avoir des privilèges. Quoique les conditions actuelles de mes filles soient excellentes en comparaison à d’autres endroits, elles ont même des assurances et un fond de pension. Je leur demande 32h par semaine et leur offre deux jours de congé. Pas mal du tout! Je conservais le sujet, tout en faisant une pique taquine à ma comparse, question de détendre l’atmosphère alors qu’une fille lui remettait un verre de Rhum.
-Je connaitrais plus d’une façon de vous exploiter également, Mademoiselle Monroe. Que cela soit sous l’emprise de mes mains, ou celles d’autres hommes… Plus sérieusement, je ne peux nier qu’une chargée de communication allégerait mes tâches, cela me permettrait de diviser mon attention ailleurs. Cela serait à discuter plus amplement toutefois.
Prenant une gorgée de Whisky, je soupirais de contentement et tournait mon regard de nouveau sur celle-ci, une lueur protectrice dans le regard,
-Mais… Serait-ce réellement ton besoin, désire? C’est un peu comme lorsque je bande sur certaines femmes… Je dois apprendre à retenir certaines pulsions pour éviter d’attraper des infections sexuellement transmissibles. :copyright:️ 2981 12289 0
Posté le Mar 3 Nov - 1:35
Ezra Monroe
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Ezra était prête à se contenter de cette peut-être promesse, Ezra n'était définitivement pas difficile. Après tout, chaque bon commerçant a ses secrets et elle accepte parfaitement que Maleck ait les siens. Néanmoins, elle était ravie d'apprendre que tout ça n'avait aucun lien avec un quelconque pacte céleste. Elle se serait retrouvée bien emmerdée, ça fait un moment qu'elle a déjà vendu son âme en tant que journaliste.
- Bien, je vais devoir me contenter de ça. A charge de revanche.
De toute façon, elle était persuadée de pouvoir trouver aussi bon en fouinant un peu. Bon d'accord, peut-être pas aussi bon mais suffisamment bon pour oublier ses peines. Elle n'a de toute manière pas suffisamment de courage ce soir-là pour essayer de lui tirer les vers du nez. Son ami lui commande un verre de whisky à elle aussi et quelques minutes plus tard, c'est du rhum qui arrive. Bien, elle s'en contentera de ça aussi. Question alcool fort, Ezra n'est pas difficile non plus. Elle acquiesce à la remarque du proxénète. En effet, ses supérieurs sont très doués pour l'exploiter. Surtout depuis qu'elle a fait n'importe quoi.
- Merci.
Elle lève son verre vers lui, l'avançant comme pour porter un toast et en boit quelques gorgées après avoir fini sa flute de champagne. C'est presque un crime de boire un vin comme ça aussi vite, mais elle s'en moque pas mal. Elle manque néanmoins de s'étouffer avec la boisson lorsque Maleck sous-entend qu'elle ferait une excellente prostituée. Bien, c'est sans doute un compliment.
- J'apprécie ta proposition, je m'en souviendrais si jamais je veux changer de voie mais pour l'instant le journalisme me convient assez bien.
Oui, ce qui ne lui convient plus c'est le Nexus. Le Nexus et ses foutues règles. Tellement qu'elle considère sérieusement la possibilité de travailler pour Maleck. Après tout, elle serait beaucoup mieux traitée et pourrait picoler à volonté. Elle glousse lorsqu'il mentionne ses problèmes de MST, elle aimerait sincèrement avoir le même genre de préoccupations.
- Sacrés problèmes, mon vieux. Mais ouais, peut-être que tu pourrais m'aider.
Elle réfléchit un moment, un peu trop longtemps. Elle met ça sur le compte de l'alcool.
- Tu connaitrais pas des gens qui... je sais pas, des gens qui seraient intéressés pour monter un journal ici ?
Elle ne peut pas s'en empêcher Ezra. Même au beau milieu d'une fête comme ça, il faut qu'elle parle travail. Encore et encore.