Into Deep Space | Posté le Jeu 16 Juil - 9:47 | I am the very model of a scientist salarian! Profession : Chercheuse Habitation : Sur le Nexus
| | Veia M'jaora | nom: M'jaora prénom(s): Veia surnom(s) / âge 126 ans race: Asari date de naissance: 2947 lieu de naissance: Neo-Thessia, Esimia, système Inalaara lieu d'habitation: Nexus situation amoureuse: Célibataire orientation sexuelle: Pansexuelle profession: Scientifique, membre d'une équipe de recherche sur la faune et la flore native d'Heleus situation financière: Veia consacre la majeure partie de son temps à son travail. Elle ne dépense pas vraiment son salaire et profite donc d'une sécurité financière toute relative, dont elle ne profite pas réellement. groupe: Scientifique avatar: Artwork de Whalec |
Ma mère m'a toujours beaucoup parlé du ciel. Elle aimait regarder les nuages la journée et les étoiles lorsqu'il qu'il faisait nuit. Elle préférait les étoiles.
analysis inbound
C’est un drôle de travail que je n’ai pas l’habitude de faire. J’aime interroger l’inconnu et écorcher sa surface, étioler l’étrange pour en dévoiler l’explicable. Partir à la rétrospection de soi-même ? Pouah, très peu pour moi. Je ne suis même pas certaine de pouvoir dévoiler des choses intéressantes… Qui ne se rapportent pas à mon travail, j’entends. Je pourrais vous raconter beaucoup de chose, dressant un portrait édulcoré d’une jeune Asari qui a soif d’apprendre. L’histoire d’une curieuse qui quitte le cocon familial pour partir à l’aventure, arpenter les déserts des Badlands de Kadara, gravissant les montagnes pour observer les eiroch à l’état sauvage.
Oh ne vous méprenez pas, il y aura sans doute un peu de vrai là-dedans. J’ai toujours été très curieuse et c’est principalement ce trait de caractère qui m’a forgé, dessinant les contours d’une appétence toute particulière pour l’inconnu. ‘Fin… Bref, je parle toujours de ça avec un enthousiasme que je ne parviens jamais à freiner. C’est peut-être là-dedans que je m’y retrouve le plus. Beaucoup rechigneraient à passer leur journée à compléter des tas de datapads pour faire progresser un herbier, ou à compiler des lignes et des lignes de données sur le comportement sociétal des jeunes Raguond. C’est d’ailleurs le cas d’une majorité de mes collègues – même si d’autres partagent la même ardeur à la tâche que moi.
C’est sans doute ça mon principal défaut. Je suis une particule de gaz dans une bulle qui stagne à la surface de l'eau. Je m'enferme dans un carcan de réflexions sur mon environnement et sur les quelques personnes dont je peux me targuer d'être proche. J'aime beaucoup trop penser et me perdre dans mon esprit. J'aime l'imaginer comme un énorme centre de données, une pièce qui semble s'étendre sur l'infini, dont le gigantisme espace est occupé par des meubles qui vomissent des dossiers. Un bordel organisé dont moi seul ai la carte. Ça ne fait pas de moi quelqu'un de très … Sociale ? Disons que je pense et vit beaucoup trop mon travail. Je ne peux pas me targuer d'être très sortable. Mes collègues ont déjà essayé, mais je me retrouve bien vite dans un coin, mon verre dans les mains, entrain de contempler mes pieds tout en brodant une histoire imaginaire sur un petit être invisible qui tente de gravir ma cheville pour m’occuper l’esprit. C’est tout le paradoxe de mon existence. Il suffit que je sois à l’aise dans un domaine pour que je m’y abandonne totalement. Dans le cas contraire, je bafouille et j’ai l’impression de suffoquer dans une pièce dont les murs s’avancent vers moi.
Rah. Qu’est-ce que je suis en train de dresser comme portrait de moi-même ? Ma mère me dirait « Redresse-toi, lève ta tête et regarde devant toi. » Il y a sans doute moyen de faire plus élogieux mais déjà enfant j’avais la tête dans le ciel. Je me plaisais à observer les nuances de bleu qui tiraient sur le violet lorsque la nuit tombait. Lorsqu’on le vit avec soi-même, il semblerait pourtant facile de pouvoir parler … Ben de soi-même. Ça semble stupide non ? Eh non, pas vraiment. Me suffit de réfléchir quelques minutes… Comment Kyle, mon très cher et estimé partenaire de science, me décrirait ? Alors là, je m’imagine entrain de m’éclaircir la gorge pour prendre une voix grave, imitant le timbre masculin et légèrement guindé du-dit Kyle.
« Veia ? C’est sans nulle doute la personne la plus intelligente que je connaisse. » Ouais non, je l’invente peut-être cette partie-là. « Veia ? C’est sans nulle doute la personne la plus intelligente que je connaisse… Après moi. » LA. Là, je tiens le personnage. Voyons. « Elle est … Passionnée. Un peu trop. Lancez-là sur un sujet qu’elle étudie et vous êtes parti pour long monologue, vous démontrant à quel point elle maitrise la chose. Un monologue, certes, mais qu’elle parviendra toujours à rendre intéressant même si vous vous contrecarrez de ce qu’elle raconte. C’est ça que je trouve dingue. C’est une très bonne prof, malgré son très jeune âge. D’un point de vue asari j’entends, de mon point de vue, elle n’est pas loin de tomber en poussière. » Oui. C’est lui ça.
De ce côté-là, je pense que je n’invente rien ou pas grand-chose. Kyle Andrews est sans doute la personne qui m’a le mieux cerné dans mon maigre cercle de connaissances. L’on a eu le temps pour se connaitre et à force de travailler ensemble, je pense pouvoir dire qu’il est mon seul ami. Ça semble triste, mais pas vraiment. Je me satisfais vite de ce que j’ai, à ce sujet.
Passionnée, introvertie, curieuse. Trois mots qui signifient tant et si peu à la fois. Pourtant, je ne pourrais pas vraiment parvenir à dresser un autre portrait de moi-même. La tâche n’est pas simple et je ne suis qu’au début de mon existence. Je peux encore évoluer même si je ne me vois pas vraiment prendre un autre chemin. La route que je suis est longue et sans nul doute sinueuse, pourtant c’est avec une démarche entrainante que j’ai démarré ce voyage et je ne compte pas l’interrompre de sitôt.
Veia est Veia et si vous voulez mon avis, c’est déjà pas mal.
L'on vit tous au bord d'un précipice. Sauf que je préfère sauter dedans pour voir ce qu'il y a au fond plutôt que de passer ma vie à tenter de conserver l'équilibre
first of all, the player
Prénom/pseudo: Jordan âge:26 ans pays/régionPays des gaufres, de la bière et des frites. fréquence de connexion Cela dépends mais autant que possible Si vous jouez un personnage non-humain acceptez-vous le doublon d'avatar?Yup Comment as-tu connus le forum ?:Par un samedi pluvieux, alors que je regardais les gouttes de pluies former une étrange esquisse sur ma vitre, j'ai entendu des coups frapper à ma porte. Je suis descendu, espérant enfin recevoir la visite d'un être humain, histoire de pouvoir parler à autre chose qu'à mon mur. J'ai ouvert ma porte d'un geste vif, un sourire béa sur mon visage. Malheureusement, personne. Si ce n'est ... Cet étrange carton sur le sol. Avec une url. Cette url. Je n'ai jamais su qui m'a apporté ce carton. Dernier mot:Euh... Coucou ? | |
Dernière édition par Veia M'jaora le Dim 19 Juil - 18:05, édité 1 fois |
| Posté le Jeu 16 Juil - 9:48 | I am the very model of a scientist salarian! Profession : Chercheuse Habitation : Sur le Nexus
| | life record
Il vaut mieux être orphelin qu'avoir une famille hypocrite.
« Lâche ça. » Une pause, qui ne me fit pas oublier la froideur du ton. « Tout de suite ». Je poussai un soupir, tout en continuant d’observer l’étrange petite créature qui gesticulait furieusement entre mon pouce et mon index. Je l’avais attrapée alors qu’elle tenait de rejoindre un coin d’ombre sous une petite pierre. D’un geste vif, je m’étais emparé de sa petite queue torsadée, amenant sa petite tête près de mon propre visage. Mère avait choisie pile ce moment pour faire son apparition. C’était son grand talent.
«Aimerais-tu être saisie de la sorte pour satisfaire la curiosité morbide d’une gamine qui semble oublier où est sa place ? » Je ne pris pas la peine de répondre, ayant l’habitude de serrer les dents lorsque le couteau formé par les paroles de ma mère s’enfonçait de mon cœur. Je déposai délicatement le petit insecte sur le sol et presque immédiatement, il poussa un petit cri strident avant de rejoindre à toute vitesse le rocher, rampant pour se mettre à l’abri de la vilaine asari. « Rejoint tes sœurs. L'on attend plus que toi pour démarrer le cour. » Je me suis levée, sans quitter des yeux le rocher par lequel je pouvais encore apercevoir la petite tête de l’étrange créature, cette dernière semblant guetter mes mouvements. Je tentais de repousser le moment où j’allais devoir me retourner et affronter le regard de mère. Celui qui perce, celui qui juge. Je pouvais toujours observer mes pieds, baisser les yeux. C’est ce que j’ai fait. « Pas si vite. Arrange-toi un minimum, ta robe est pleine de sable. » Elle me saisit par le bras sans l’ombre d’une délicatesse, alors que je passai à côté d’elle. Je me suis laissé faire sans protester, jetant un coup d’œil sur le domaine familial qui s’étendait juste derrière Mère, tandis qu’elle époussetait le bas de ma robe faisant s’envoler la poussière. Lorsqu’elle eut terminé, elle plaça ses mains sur mes épaules, m’observant dans un moment de silence que je ne rompis pas. Elle devait s'attendre à ce que je dise quelque chose mais rien ne vint. J'avais rarement les mots justes pour mettre le verbe sur mes émotions. Sa main gauche quitta mon épaule et vint caresser ma joue. Il y eut comme un éclair qui me parcouru l'échine mais je parvins à le masquer. «Tu es belle ma fille et intelligente. Sans nulle doute plus que tes sœurs. » Je parvins enfin à lever mon regard pour croiser le sien. Pas l'ombre d'une douceur ne venait réchauffer ses prunelles. Je sentis les larmes me monter, une nouvelle fois. «Tu es juste née dans la mauvaise famille. »
* Un bruit sourd faisait trembler le sol à intervalles réguliers. Cela ressemblait aux percussions étouffée que l’on pouvait percevoir du Vortex Club, lorsque l’on arpentait les couloirs non loin du bar. Pourtant ce n’était pas les percutions d’une musique électronique sur lesquelles se remuaient les hormones sur pattes, non c’était mon voisin. Il ne faisait pas cela car il souhaitait battre la mesure ou qu’il piaffait d’impatience. Il était nerveux, toute couleur ayant quitté son visage depuis le moment où il s’était assis sur la banquette. C’était un jeune humain, sans doute au début de la trentaine ou pas loin. Il regardait droit devant lui, jetant quelques bref coup d’œil en direction de la porte qui allait signer en bien ou en mal notre avenir. Détail amusant et signe sans doute d’un toc nerveux, depuis que je l’observais, cela faisait bien une quinzaine de fois qu’il s’ébouriffait les cheveux.
Je devais être immobile depuis un petit moment, la tête tournée dans sa direction car il finit par s’en rendre compte. Il capta mon regard que je m’empressai de détourner, me sentant rougir comme une idiote. Je m’éclaircissais la gorge, tentant de trouver un autre point d’accroche à mon regard, une plante, une affiche, n’importe quoi tant que je parvenais à me faire oublier. « Ça se voit tant que ça ? » Raté. Je me sentie remuer sur mon siège, devenu subitement inconfortable et tournai ma tête dans sa direction, le plus négligemment possible. « Je vous demande pardon ? » Plus fluette encore, la voix. « Ça se voit tant que ça, que je suis en train de me décomposer de minutes en minutes ? » Je soufflai légèrement du nez. Effectivement ça se voyait. Encore quelques minutes d’attente et il était fort probable que l’homme finisse par faire une attaque. Cependant, il n'attendit pas que je réponde, car il fit un geste de la tête en direction de la porte, derrière laquelle un premier entretient était en cours. C'était une autre humaine, blonde, parfait cliché de la snobinarde à lunette, qui était entrée il y a bien un quart d'heure. « C'est stupide. Je sais que ce poste est fait pour moi et que j'ai largement les qualifications pour faire l'affaire et travaille avec elle. J'ai tout préparé pour mener à bien cet entretien. Tout. Sauf ... Eh bien. Je ne sais pas qui j'allais avoir comme ... Concurrent ? »
Je détournai le regard, observant le datapad que je tenais entre les mains. Concurrent ? Je fis la grimace. J'allais répondre lorsque la porte s'ouvrit dans un bruit de soufflette. La snobinarde fit sa sortie et j’aperçus du coin de l’œil mon nerveux voisin se redresser. La blonde fit un pas de côté, sans nous adresser un seul regard, laissant passer un galérien dont les yeux globuleux étaient plissés en direction de la jeune femme.
« Bien. Mademoiselle. Je vous prie. Voilà. Nous vous recontacterons dans les plus brefs délais. Merci ! - Non, merci à vous de m'avoir reçue professeur. J'attendrai de vos nouvelles. Bonne journée !»
J'entendis le professeur grommeler une vague réponse, plus pour être poli car il semblait assurément pressé de mettre un terme à cet entretien. Il observa la jeune femme s'avancer en direction des ascenseurs et attendis que les portes de celles-ci ne se referment sur elle avant d'enfin s'adresser à nous.
«Bien. Inutile de vous dire que nous ne reverrons pas la charmante jeune femme qui vient de nous quitter. Je recherche des scientifiques, des chercheurs passionnés et non pas une mannequin de cire que papa à envoyé faire des études.» Le galérien fit les cents pas pendant qu'il parlait, sa diction était rapide et cassante, il allait droit au but sans s'appliquer dans les fioritures verbales dont beaucoup de personnes chez ses pairs avaient l'habitude. «Alors nous allons tout de suite nous mettre d'accord. Nous sommes une petite équipe et pourtant, nous rassemblons sans doute les plus éminents cerveaux scientifique de cette foutue station. Nous ne répondons qu’à Monsieur Morlan lui-même même si nous sommes indépendants de l’Initiative. Mais vous le savez sans doute déjà. Si vous franchissez cette porte pour aller plus loin dans cet entretien, sachez que nous attendrons beaucoup de vous. Si vous ne vous sentez pas capable de faire face à ça, si vous ne vous sentez pas capable de fouiller dans la crasse à la recherche de ce qui pourra assurer l’avenir du secteur Héléus, rebroussez chemin et cessez de me faire perdre mon temps. Dans le cas contraire…. Je vous attends là derrière. » Sans prendre le temps de faire une pause pour observer l'effet qu'avait eu son monologue sur nous, le professeur fit demi-tour, et retourna dans son bureau sans même nous adresser un seul regard.
J'eus l'impression qu'une décennie était passée avant que je parvienne enfin à me lever. Sur ma droite, mon voisin n'était pas parvenu à faire un seul mouvement, comme tétanisé. Le blanc de son visage pouvait presque me laisser entrapercevoir la circulation sanguine sous sa peau. Je fis un pas en direction de la porte du bureau du professeur avant de m'interrompre. Mon voisin n'avait toujours pas esquissé un seul mouvement.
« Eh bien, ça ne vous dit pas d'écrire l'histoire ? »
Regarde comme il fait beau, dehors. C'est l'heure d'aller jouer.
Quelle est votre apparence physique? Quelles sont vos petites différences physiques?Je ne suis pas très grande, à l'image de mes consœurs. Si je ne peux pas me targuer de pouvoir me jucher à la hauteur d'un humain de taille convenable, je me plais à avoir une mine élancée et une démarche fluide étant fine et plutôt souple. Je ne cracherais cependant pas sur quelques centimètres en plus pour enfin arrêter de lever les yeux lorsque je m'adresse à quelqu'un. Les gens semblent trouver que j'ai un visage doux, bien qu'un peu rond. Mes lèvres sont finement dessinées sous un nez légèrement redressé qui me donne un air mutin que souligne aussi mes prunelles couleur turquoise. Personnellement, je me trouve un air un peu trop enfantine mais l'on raconte que lorsque je m'essaye à sourire, mon visage s'illumine, laissant apparaitre une jeune femme dont la maturité n'est plus à prouver. Attends, ça vient de moi ça ? Quelle est votre force physique, votre agilité? Vos compétences physiques? Je ne suis pas très sportive bien que très agile. Ca doit venir de mon enfance. Là où mes sœurs passaient leur temps à apprendre comment bien se comporter dans une société de nobliaux, se disputant sur la couleur d'une robe à porter lors de telle ou telle occasion, moi j'étais dehors, arpentant les étendues sauvage en dehors de la propriété familiale sur Neo-Thessia. Mon travail m'a amené à participer à certaines expéditions en milieu hostile. Si je pense pouvoir être tout-à-fait capable de survivre si je me retrouve en milieu sauvage sans possibilité de capter les secours, je ne suis cependant certaine de ne pas faire long feu si je croise un colosse. Avez-vous des compétences biotiques? Comme toutes Asari, je dispose de compétences biotiques naturelles. Je me considère comme une novice, n'ayant pas souhaitée poursuivre une maitrise de mes compétences. Je suis tout de même capable d'ériger une barrière -bien qu'elle soit instable- et de déplacer certains objets à condition qu'ils ne pèsent pas six tonnes. Quelles sont vos compétences technologiques? Je dispose de compétences de base en ingénierie mécanique et informatique, amenée par mon travail. Cela se résume surtout à des travaux de maintenance sur le matériel que j'utilise au boulot, comme des calculateurs avancés, des machines de minages ou d'extraction biologique. Je suis donc capable d'identifier et de réparer une panne qui survient sur le matériel que j'utilise tout les jours, cependant il m'est impossible de décrypter les causes d'une panne du plus petit moteur de propulsion. Quelle est votre affiliation avec la science? La science, c'est mon dada, le pied estrade sur lequel repose mon existence. Si ma Mère me destinait à une carrière diplomatique, je suis parvenue à m'extirper du cocon familiale pour suivre ma voie et me jeter corps et âme dans le domaine de la science et de la découverte. Si je me suis spécialisée dans les sciences comportementale des espèces d'Andromède, je suis aussi très à l'aise avec l'étude de la flore. Avez-vous une quelconque affiliation avec le monde du divertissement?Ça signifie sortir de chez moi et faire des trucs ? Non, pas vraiment.Avez-vous un quelconque lien avec l’Initiative ou une organisation au sein du Nexus? Je fais partie d'une équipe de recherche de douze scientifiques, dirigée par le Professeur galarien Tapar Limalino qui dirige un laboratoire de recherche privé au sein du Nexus. Notre équipe est déjà intervenue sur des missions mandatée par l'Initiative et Sulin Morlan en personne. Mon patron et ce dernier semblent entretenir de très bons rapports professionnels, ce qui a valu à notre laboratoire l'exclusivité sur certaines recherches. Avez-vous un quelconque lien avec le Collectif ou une quelconque organisation du monde exilé ? NégatifAvez-vous des compétences de pilotage? Je suis capable de piloter une navette civile comme les modèles reconditionnés Kodiak de l'Initiative, même si je ne possède pas de véhicules personnels.
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| Quelles sont vos activités en dehors de votre travail? Mon quotidien peut ressembler à l'ancienne expression humaine "métro - boulot - dodo" d'où l'aspect quelque peu non personnel de mon appartement sur le Nexus. Lorsque je n'ai pas la tête dans mes recherches, mes yeux se perdent dans la lecture d'études diverses et variées ou plus simplement de thrillers horrifiques dont je raffole. Je ne m'accorde que très peu de temps, sortant de temps en temps pour suivre mes collègues hors du contexte professionnel. Lorsque l'envie me prends, je me plais à flâner au sein du Nuagium, arpentant les longues avenues de la Place de l'Obsidienne, jamais sans un datapad pour me donner un air occupé. Qu'est-ce que vous faites dans votre travail? votre quotidien? Je me lève assez tôt, mon corps n'ayant jamais été très pote avec le concept du sommeil. Si j'étais une starlette du Présidium, je me sentirais chanceuse d'avoir une telle chance car je pourrais passer mes nuits à faire valoir mes charmes bleuets auprès des riches fêtards du Nexus. Sauf que ce n’est pas trop mon genre. Je ne suis pourtant pas la première à me rendre au labo car le Professeur Limalino est toujours le premier sur place car il aime être là pour accueillir son équipe. C'est ce qui fait partie de son charme même si beaucoup d'entre nous s'inquiètent sur ce qu'il fait de ses journées car nous ne le voyons que très rarement quitter son bureau. Je dispose moi-même d'un espace de travail plutôt conséquent dans les locaux du Professeur Limalino. Nous sommes une petite dizaine, divisés en secteur de recherche où nous œuvrons à trouver de quoi améliorer la qualité de vie des colons de l’Initiative. Cela passe par de nombreuses choses, comme l’étude du comportement de faune d’Andromède ou des expéditions pour étudier la flore. Pas de recherche sur les Reliquats ici, la chose étant plutôt protégée. Possédez-vous un vaisseau à vous? Non, je n’en ai pas vraiment l’utilité étant donné que je ne quitte que rarement le Nexus. Quels sont vos objets indispensables? Mon enregistreur. Si je l’oublie –et ça ne m’arrive jamais- je pense vraiment pouvoir faire une crise d’angoisse. Je pense qu'il s'agit du premier objet que je me suis procuré grâce à mes faibles économies de l'époque, lorsque j'ai quitté Néo-Thessia. Ma sœur me disait toujours que ce qu'il me manquait, c'était une personne dans ma vie à qui confier ce que je prenais tant soin de cacher, dressant une véritable muraille face à ceux qui désireraient que je m'ouvre. C'est un peu long à expliquer et je ne suis pas ici pour faire une séance de psychanalyse, j'ai seule ce droit exclusif qu'est celui de fouiller dans ma tête. Bref, j'ai donc acheté ce petit appareil. Un petit boitier de couleur noire, à l'apparence plutôt modeste. Il dispose d'une mémoire interne assez conséquente pour son âge et je me plais à lui confier mes pensées, mes réflexions sur ma vie personnel ou sur mes recherches dans un domaine plus professionnel. Je me parle à moi-même, au moi du futur qui écoutera les logs précédemment enregistrés. Je me questionne, me complimente ou m'invective. Est-ce que c'est étrange voir inquiétant ? Aucune idée. J'aime l'idée que la seule personne qui nous connaisse vraiment est nous-même. Du coup, je suis ma meilleure pote. Comment dises les humains déjà ? Hightefaille ? Hightefaille à moi donc. |
votre inventaire
- Un Omni-Tool dont le senseur d’analyse a été quelque dopé pour permettre à Veia d'effectuer ses études et calculs. Elle s'en sert principalement pour ses communications professionnelles et privées. - Un enregistreur, petit boitier noire assez discret qu'elle trimballe partout avec elle. - Une sacoche en simili-cuir, constamment attaché sur sa ceinture dans lequel se trouve des datapads et ses lectures.
Dernière édition par Veia M'jaora le Mar 21 Juil - 14:24, édité 2 fois |
| Posté le Jeu 16 Juil - 10:09 | I'll relinquish one bullet. Where do you want it? Profession : Ancien Spectre, désormais chasseur de primes et d'artefacts Habitation : Kadara, mais aussi beaucoup sur ton propre vaisseau, le LWSS Leviathan | | Posté le Jeu 16 Juil - 15:51 | Here's to simply being happily drunk. Profession : Barmaid et negociante en informations - Ex inspectrice au sein de la milice Habitation : Nexus, quasiment sur son lieu de travail | | Posté le Jeu 16 Juil - 16:04 | Begin your journey, join the Andromeda Initiative today. Profession : Journaliste de l'Initiative Habitation : Sur le Nexus | | Posté le | | |
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