Action d'@Azuka Damari : "envoyer une décharge électrique à son assaillante"
Posté le Lun 7 Déc - 1:50
Glyph
Does this unit have a soul?
Le membre 'Glyph' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Protocole' :
Posté le Lun 7 Déc - 2:34
Glyph
Does this unit have a soul?
BLACK OUT
enigma amidst the Nexus
Coupure Electrique
C'est une constatation que vous faites sans mal : les choses vont de pire en pire. Vous observez d'abord le mécanicien @Lowell Crofton s'acharner à essayer de trouver quelque chose au plus profond des entrailles de la rame, sans succès. Bien heureusement pour lui, les preneurs d'otages ont bien mieux à faire que se préoccuper de son cas et il demeure inaperçu. Vous avez bon espoir qu'il finisse par réussir son coup avec le temps, et c'est à peu près le seul espoir qu'il vous reste. Effectivement, vous avez à peine le temps de cligner des yeux qu'@Amadeus Castion fond sur le turien qui retenait captive @Phoebe Sandbridge. Malheureusement pour lui, son camouflage se dissipe quelques secondes trop tôt et le turien réussit à anticiper son attaque. Sa prise se détache néanmoins sur les poignets de la jeune femme qui peut alors y voir une occasion de s'enfuir. Son assaillant tire, la balle ricoche d'abord sur l'armure naturelle du turien puis sur la paroi de la rame mais ne fait cependant aucun blessé. Vous entendez quelques cris étouffés, des pleurs aussi.
- On t'avait pourtant dit de pas faire de vagues, putain.
D'une main le turien retient les poignets de Phoebe, de l'autre il tient en joug Amadeus. L'humaine qui détient @Azuka Damari envoie des menottes à @Sam Barton, quasiment à la seconde suivant cette phrase prononcée par son collègue.
- Ce qu'on veut, c'est que tu lui mettes ça. Pigé ?
Elle se tourne ensuite vers @Ezra Monroe, le regard dur et toujours déterminé, inébranlable.
- Et toi princesse, c'est pas le concours annuel de ton club d'éloquence ici, alors si tu pouvais fermer ta gueule on t'en serait reconnaissants.
La décharge électrique de l'angara a tardé mais finit par atteindre son assaillante qui lâche son arme sous le choc. Bien moins déterminé, la jeune femme enserre son poignet comme si l'os qui se trouve à l'intérieur la brûlait terriblement. Elle relâche alors son emprise sur l'avocate, vous y voyez une petite victoire, une petite lueur d'espoir. Une lueur d'espoir vite étouffés par ce qui résonne à l'intérieur de la station.
« Ici Anakia M'tasi, cheffe du Collectif qui vient vous reprendre ce qui nous revient de droit. Des siècles que vous vous vautrez dans l'opulence pendant que nous crevons ici-bas. Des siècles de souffrances et d'injustices, d'affronts répétés. Tout ça doit cesser et cela commence... »
Un temps de latence. Une pause qui semble anodine mais vous pouvez presque voir le sourire de l'asari à travers ses mots. Vous pouvez presque sentir à quel point elle attendait ce moment depuis longtemps.
« Maintenant. »
Récapitulatif
- Les tentatives pour remettre la rame en marche de Lowell échouent, il peut néanmoins réessayer car les intrus ne l'ont pas remarqué. - L'attaque d'Amadeus échoue mais a au moins le mérite de permettre à Phoebe d'essayer de se libérer. L'arme du preneur d'otage est désormais pointée sur Amadeus, il lui a tiré dessus mais la balle n'a fait aucun dégât. - L'humaine qui retient Azuka demande à Sam de menotter Amadeus, ces menottes sont bien évidemment électroniques et donc piratables. Elle dit aussi à Ezra de la boucler, pas gentille la dame. - Parce que le karma n'est jamais loin, elle se prend la décharge électrique d'Azuka de plein fouet et la relâche par automatisme.
Troisième tour achevé, merci encore pour vos participations, on touche au bout c'est promis, la souffrance est presque derrière vous
the law of the wisest
Posté le Mar 8 Déc - 14:09
Phoebe Sandbridge
Here's to simply being happily drunk.
Profession : CEO de SandVision, femme d'affaire aux griffes d'argent et aux os de verre Habitation : Sur le Nexus.
black out
phoebe sandbridge & les autres
No turn off the sun, take down the moon. For I don't need them anymore go switch off the stars and paint the sky black.
jet black lightTu rigoles, tu rigoles, tu prends de l’humour et de la légèreté mais la réalité est là : tu es tétanisée de peur. Ce n’est pas comme si, d’une certaine manière, tu n’avais pas toujours vécue avec l’idée que tu pouvais être kidnappée ou ce genre de choses, bien évidemment que si. Tu étais la fille d’un très grand cinéaste présent sur la scène galactique, forcément que toi et ton frère avaient été des cibles faciles. Et aujourd’hui ? Aujourd’hui, tu possèdes une compagnie puissante, forcément que ta vie peut être rapidement mise en jeu et en danger. Ce n’est pas pour autant que tu espérais que ça arrive, bien au contraire. Et maintenant, le corps bloqué par celui du turien, tu sens véritablement la peur qui se glisse sous tes pores. Tu aimerais bien pouvoir en rire, sourire doucement et dire que tout va bien : la réalité est tout autre. Les doigts du turien s’enfonce dans ta chair et tu sens que tes os sont friables, surtout ici, surtout cette zone-ci, et tu rigoles en lui demandant de relâcher sa prise, mais la réalité c’est que tu as véritablement peur qu’il te brise les poignets, et tu n’en as certainement pas envie. Tes yeux se posent sur l’autre turien, le spectre qui manque malheureusement son attaque. Ça te permet d’essayer de te libérer, mais c’est de courte durée puisque la prise du turien revient aussi tôt, d’une seule main, autour de tes frêles poignets. « Putain… » Tu jures avant de lever les yeux vers le spectre qui s’est prit une balle. Certes, elle a ricoché contre son armure, mais tu ne peux qu’imaginer que le choc pouvait être désagréable. Seulement, avant de pouvoir ouvrir la bouche, il se retrouve en joug. Parfait. Tu esquisses un rire nerveux. « Nous voilà bien. Spectre pris en joug, on est dans la merde. » Tu souffles avant de guider tes yeux vers Azuka quand l’autre preneur d’otage prend la parole. Tu observes la scène avec une certaine appréhension, tu inspires, expires, cherche un peu à reprendre un peu de calme alors que l’angara délivre une décharge électrique en direction de la preneuse d’otage. Peut-être que vous avez une chance. Peut-être. Un espoir tué dans l’œuf quand la voix résonne, annonçant que bel et bien tout ce cinéma n’est autre que l’acte du Collectif. Bien évidemment, il fallait qu’ils fassent chier. Forcément. Tu comprends le pourquoi de cette attaque. Tu travailles à Kadara, tu sais comment ils vivent, ce n’est pas pour autant que tu cautionnes ses attaques là. Tu inspires avant de bouger légèrement tes poignets, essayant de desserrer la prise sans trop de succès. Toutefois, au vu de la position de tes poignets, si tu les tournes légèrement, tes doigts peuvent atteindre le clavier de ton omnitool sans attirer l’attention du turien qui te garde captive. Tu continues de te mouvoir un peu, t’attirant les foudres de ton geôlier avant que tes doigts ne touchent le clavier de ton omnitool, parfait. Tu ne sais pas si ça va fonctionner, mais tu commences à taper une ligne de code, puis une seconde, à l’aveugle, dans le but que ton omnitool puisse éventuellement décharger la totalité de son électricité – quitte à se cramer lui-même – dans le corps du turien. Peut-être un peu contre toi aussi, mais c’est un dégât mineur dans l’idée que ça pourrait vous aider toi et le spectre. Tu ne sais pas, mais tu essayes.
code par orion
Posté le Ven 18 Déc - 19:38
Sam Barton
Here's to simply being happily drunk.
Profession : Barmaid et negociante en informations - Ex inspectrice au sein de la milice Habitation : Nexus, quasiment sur son lieu de travail
☽ BLACK OUT ☾
SYSTEM FAILURE - INTERNAL LOCKDOWN IN EFFECT - BUILDING LOCKDOWN IN EFFECT - MULTIPLE CONTAINMENT BREACHES DETECTED - MULTIPLE BUILDING SHIFTS DETECTED RED PROTOCOLE
✶ Difficile de croire que tu regrettais le moment où tu étais dans le bureau de ton banquier à l'écouter te dire à quel point tu devais mieux gérer ton affaire. Mais dans le bureau de ce gratte-papier désagréable, tu n'étais l'otage que de l'ennui et de l'agacement, pas d'un duo de renégat au sang manifestement chaud. Dans le bureau de ce gratte-papier déplaisant, tu n'entendais pas des balles siffler au-dessus de ta tête pour ricocher sur les murs de la rame en réponse à l'initiative d'un spectre. Dans le putain de bureau de ce putain de gratte-papier antipathique, on ne te lançait par une paire de menottes pour que tu la passes autour des poignets de la seule personne qui avait tenté quelque chose jusque-là. Et dans le putain de bureau d'un putain de banquier, t'avais encore ta putain d'arme !
Tu étais démunie, tu devais bien le reconnaître et tu attrapas les menottes en plein vol pour ne pas te les prendre en pleine tête. Tu adressas un regard furtif au spectre, comme dans l'espoir de voir germer une idée avant d'entendre la voix d'Ezra dans ton dos. Tu ne l'avais pas remarqué jusque-là et sa présence ajoutait encore à une inquiétude déjà débordante. Peut-être qu'il aurait été plus facile d'être entouré d'inconnus pour lesquels tu n'avais aucun affecte, peut-être qu'il aurait été plus simple de garder ton calme même si te connaissant, cela aurait été peu probable maintenant que tu avais quitté le front militaire depuis trop longtemps. Mais savoir que la jeune femme été là, ton amie malgré tout, c'était d'autant plus difficile à avaler.
Les passagers étaient apeurés, recroquevillés quand ils ne s'étaient pas figé les mains en l'air en espérant s'effacer dans le décor. Toi, tu serrais toujours les menottes entre tes phalanges blanchis avant de te rapprocher dans le dos du turien. Tu avais le choix entre obtempérer sans l'assurance que les preneurs d'otage aient un quelconque honneur ou bien tenter quelque chose de stupide, d'inconsidéré et plus que dangereux. Tu ne savais décidément pas quoi choisir et tu passas dans le dos du turien sans quitter les assaillants des yeux dans l'espoir de trouver une idée rapidement.
Tu n'en avais pas, aucune, rien et tu t'apprêtais à refermer les menottes sur les poignets du spectre quand tu entendis le juron de l'humaine qui retenais l'avocate. Dans un réflexe, tu lanças les menottes sur l'arme du turien avant de t'élancer sur l'arme que l'assaillante venait de lâcher sous le choc de la décharge de l'angara. Tu n'avais que quelques secondes avant d'entendre siffler une nouvelle balle du turien si le spectre ne décidait pas de le neutraliser avant.